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Michael Card en concert

© Alliance Presse
L’auteur-compositeur chrétien américain de renom ne s’est jamais produit en Europe continentale. C’est par amitié pour Philippe Meyer que l’artiste, multi-instrumentiste, se produira le 7 octobre à Vevey. L’entrée sera libre mais il est possible d’acquérir «des billets de soutien» pour promouvoir l’événement.
Sandrine Roulet

«Michael Card est un artiste qui ébranle ses auditeurs au plus profond d’eux-mêmes», s’exclame Philippe Meyer. Le directeur de l’association/librairie la Clé de Sol est aux anges: la venue de Michael Card en Suisse, il en rêvait depuis longtemps. L’auteur-compositeur chrétien américain de renom ne s’est jamais produit en Europe continentale. C’est par amitié pour Philippe Meyer que l’artiste, multi-instrumentiste, se produira le 7 octobre à Vevey. L’entrée sera libre mais il est possible d’acquérir «des billets de soutien» pour promouvoir l’événement.
Depuis le début des années 80, Michael Card a vendu quatre millions d’albums, ce qui fait de lui un des artistes chrétiens les plus populaires. Il a reçu le Dove Award, plus haute distinction pour un compositeur chrétien. En francophonie, on se rappelle le fameux El Shaddai, repris par Amy Grant. Malgré cela, il est resté humble selon ses proches. «C’est quelqu’un qui vit une intimité avec le Seigneur extraordinaire et cela influence sa musique», insiste Philippe Meyer. Max Lucado, le pasteur et auteur, parle d’un «prophète».

Etude de la Bible
Son style musical, à dominante folk, est comparable à celui d’Adrian Snell. Son dernier album, A fragile Stone, est sorti en 2006; un hommage à l’apôtre Pierre, pierre fragile mais sur laquelle Jésus-Christ a bâti son Eglise. Une des caractéristiques de Michael Card est sa vaste culture biblique. Chaque album a été pour lui l’occasion d’une étude approfondie des thèmes qu’il abordait. C’est ainsi qu’il est l’auteur d’une quinzaine de livres théologiques ainsi que d’articles. Aujourd’hui, c’est principalement en tant qu’orateur qu’il est invité.
En parallèle, il continue à travailler comme ingénieur du son et musicien pour d’autres groupes dans son studio de Franklin, au sud de Nashville. Issu d’un foyer musicien (une mère violoniste et un père tromboniste), Michael Card ne se destinait pas à une carrière de musicien professionnel. C’est sur la demande de son pasteur qu’il a commencé à composer des chants pour l’Eglise.
Sandrine Roulet

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Christianisme Aujourd'hui

Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui – octobre 2009

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