Depuis sept ans, Loïc de Keuster travaille comme intendant pour une assurance sociale. Cet emploi varié lui permet de mettre ses compétences manuelles et techniques à profit: électricité, peinture, dépannage de la centrale téléphonique, réparation du mobilier, etc. Mais le jeune père de famille apprécie aussi la souplesse des horaires et sa grande indépendance. «Même si parfois, c’est moins intéressant, je suis conscient d’avoir un emploi génial pour moi et j’en suis reconnaissant», s’enthousiasme Loïc de Keuster.
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Cet emploi, il en avait fait un sujet de prière: «Mon dernier travail était dur et ne me plaisait pas. A l’Eglise, j’ai été encouragé à croire que Dieu donne en abondance et non le strict minimum. J’ai donc prié pour trouver un travail où je serais heureux, avec un bon salaire dont j’ai précisé la somme». Lorsqu’il entend parler de ce poste, quatre autres candidats sont en lice. Loïc de Keuster demande à quelques personnes un soutien dans la prière. Durant l’entretien, lorsqu’on lui demande ses prétentions salariales, il prend le risque de proposer le chiffre de sa prière. A sa grande surprise, il est engagé avec un salaire un peu plus élevé que ce qu’il avait demandé: «Je crois vraiment que Dieu pourvoit à mes besoins au-delà de mes espérances», atteste-t-il.