Vaincu par Jésus, pourquoi le mal persiste-t-il?
«Il est difficile de croire en la défaite de Satan à Golgotha pour ceux qui vivent dans des pays où règne le terrorisme, qui voient l’effroyable inhumanité de l’homme à l’égard de ses semblables». Dans Satan vaincu et chassé (éd. Europresse), le pasteur Frederick Leahy soulignait déjà ce paradoxe qui peut sembler incompréhensible: tout le Nouveau Testament enseigne que Jésus a triomphé du mal par sa mort et sa résurrection, mais en même temps la souffrance et le péché continuent de sévir. «De quoi ébranler la foi de quelques-uns ou apparaître comme un obstacle sur le chemin de certains autres», reconnaît le théologien Henri Blocher. Les événements de Vendredi Saint et de Pâques n’auraient-ils donc qu’un impact sur notre salut individuel, mais sans conséquence sur ce monde?
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