Skip to content

Une Église en vitrine pour vivre l’amour autrement

© GettyImages
Qu’elles soient au milieu du village ou loin de tout, certaines Églises peinent à attirer les curieux de la foi. L’Église Ruah a décidé de se réinventer afin de mieux rejoindre ses voisins. Coup de projecteur.
David Nadaud

A la suite de la vente du local qu’ils occupaient pour leurs rencontres du dimanche après-midi, dans les environs de Valence dans la Drôme, les membres de l’Eglise protestante Ruah ont continué à se rencontrer dans d’autres locaux, mais différemment.

Sonia Rouméas, membre de l’équipe de direction de cette communauté, raconte: «On a tout de suite pensé à ce nouvel espace comme un lieu de vie, de partage, ouvert au-delà des dimanches, afin de pouvoir y vivre plus que de simples réunions de l’Eglise. Dans notre recherche d’un nouveau lieu, il nous a semblé évident de prospecter du côté du centre-ville, pour être au plus proche des habitants.» En effet, l’Eglise Ruah était auparavant située en dehors de la ville, sans voisins directs. Sonia Rouméas raconte: «Même quand nous organisions des fêtes, on ne touchait personne aux alentours. C’était parfois frustrant.»

Publicité

Dossier: Ces chrétiens qui sortent des sentiers battus

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Trop douter, c’est ne croire qu’en soi

À l’heure de l’IA générative et des théories du complot, il peut être tentant d’opérer un «repli stratégique» et de décider de ne plus croire personne. Un réflexe toutefois dangereux.

Le plus grand complot que le monde ait connu

Notre dossier de juillet-août porte sur ce que l'on choisit de croire. Au fait, choisit-on de croire? Est-ce que les chrétiens sont plus complotistes que les non chrétiens? Et finalement, peut-on se débarrasser de ses…

Publicité