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Un temps pour aimer et un temps pour haïr…

© Alliance Presse
L’Ecclésiaste rappelle que la vie est composée de bons et de moins bons moments. Un regard fataliste et déprimant sur la fragilité de l’existence humaine?
Jérémie Cavin

«Il y a un temps pour tout: un temps pour enfanter et un temps pour mourir. Un temps pour tuer et un temps pour guérir. Un temps pour pleurer et un temps pour rire». Voilà trois des quatorze oppositions surprenantes qu’émet l’Ecclésiaste entre des choses heureuses et des choses malheureuses de la vie. Salomon est-il en train d’appeler les êtres humains à aimer et viser la paix un jour, puis à haïr et partir en guerre le lendemain? Quelle est donc la «philosophie de vie» qu’il véhicule dans cet énigmatique chapitre 3?

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