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Quand les religions sont fauteuses de conflits

L’actualité montre chaque jour les progrès du terrorisme religieux dans le monde, la montée des intégrismes ou les discours politisés des religieux ou l’inverse. Les religions échouent-elles dans leur mission pacificatrice ou le monde saisit-il mal ce qu’elles sont vraiment ?
Xavier Tracol

L’intolérance religieuse est de plus en plus souvent pointée du doigt comme étant la principale cause des conflits: les Croisades, les guerres de religions du XVIe siècle, les conflits du Moyen-Orient, le djihad mondial, la lutte contre l’Axe du Mal, etc. La liste est longue.Plutôt qu’un retour du religieux dans la violence des hommes, plusieurs spécialistes parlent maintenant d’un «recours au religieux» par les pouvoirs en place pour légitimer une guerre motivée par d’autres intérêts, territoriaux, géostratégiques ou autres, comme par exemple en Afghanistan et en Irak depuis 2001. «Il ne faut pas systématiser le facteur religieux dans les conflits contemporains », défendait dans un récent essai le géographe Stéphane Dubois.

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