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Nos enfants ne sont pas parfaits, la faute à qui?

© Alliance Presse
En matière d’éducation, les chrétiens ne sont pas non plus toujours «meilleurs que les autres». Olivier Brocard propose certaines explications et appelle à la déculpabilisation. Parti pris. Découvrez sur ce site les autres articles de notre dossier consacré à la famille.
Olivier Brocard

Les chrétiens ne sont pas à l’abri des difficultés dans le domaine de l’éducation! Elever un enfant reste une affaire complexe. Il y a d’abord l’influence que la société exerce sur nos enfants. Les défis liés aux médias nous concernent autant que les autres parents; via internet, les smartphones, WhatsApp ou les SMS, nos enfants sont constamment connectés, sollicités par l’extérieur. Les relations familiales deviennent plus difficiles! Bien que les moyens de communication soient extraordinaires en soi, nos jeunes sont confrontés à diverses formes de mise en danger, au sujet desquelles le dialogue s’avère indispensable. Car les dérives existent et sont parfois difficiles à gérer: règlement de comptes, humiliation, rejet, échanges de photos ou de textes au contenu sexuel explicite.
De même, nos enfants ne seront pas forcément épargnés par les comportements à risques liés à l’alcool ou aux drogues. Pour les parents chrétiens, une crainte supplémentaire voit le jour: celle de ne pas savoir si leurs enfants développeront une relation avec Dieu.

Dossier: Famille
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