Skip to content

Missionnaires du passé, ils ont fait preuve de courage

© Wikipedia - De gauche à droite: William Chalmers Burns, Dora Yu, Harriet Tubman, George Müller
L’histoire de l’église et en particulier les aventures missionnaires du 19e et 20e siècles regorgent de récits de personnes qui ont pris des risques. Des exemples à imiter en 2023.
Charlotte Moulin

Le jeune Ecossais William Chalmers Burns (1815-1868) est arrivé à Hong Kong avec une connaissance approximative d’une seule langue chinoise au début de la première Guerre de l’opium. C’est d’abord dans son pays et dans d’autres Etats anglophones qu’il avait fait ses armes de missionnaire, passant d’un orateur bouillonnant à un homme qui paraissait déjà vieux à l’âge de vingt-deux ans, l’expérience en plus. Sur l’île puis sur le continent, il a appris avec assiduité différents dialectes chinois les uns après les autres pour être entendu et pour pouvoir retranscrire de la littérature chrétienne. Il a notamment traduit des cantiques et Le Voyage du pèlerin de John Bunyan en plusieurs langues locales. L’évangéliste itinérant, qui a inspiré Hudson Taylor, a trouvé la plupart du temps des esprits attentifs.

Dossier: 2023: Oser le risque
Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Des Eglises en mode post-évangélique

Un Occident en «post»-Christianisme et des chrétiens en «post»-évangélisme... comment ces «post» redéfinissent-ils les identités?

Cerner les points de tension chez les évangéliques

Eric Zander, implanteur d’Églises et initiateur de communautés alternatives avec Vianova dont il est directeur général, observe quatre tendances pour le milieu évangélique francophone. Verbatim.

Publicité