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L’Évangile face à l’extrémisme religieux: le combat de Portes Ouvertes

Femmes au Nigeria. Photo prise dans le cadre de la campagne «Arise Africa» («Debout, Afrique») de Portes Ouvertes.
© Portes Ouvertes Suisse / Femmes au Nigeria. Photo prise dans le cadre de la campagne «Arise Africa» («Debout, Afrique») de Portes Ouvertes.
Fondé par Frère André en 1955, Portes Ouvertes célèbre 70 ans de soutien aux chrétiens persécutés. Entretien avec Philippe Fonjallaz, directeur de la branche Suisse.
David Métreau

Quelle était la vision de départ de Portes Ouvertes et comment a-t-elle évolué?

La vision de départ, celle de notre fondateur Frère André, était très claire: distribuer des bibles. C’était la raison d’être du ministère dans les premières années, en Europe de l’Est, de l’autre côté du Rideau de fer. Avec le temps, les besoins se sont diversifiés. Nous avons compris que d’autres formes de soutien étaient nécessaires pour accompagner les chrétiens persécutés. Le ministère a donc évolué, mais le cœur de notre vision est resté le même: nous concentrer sur les chrétiens qui sont les plus mis sous pression, là où la persécution est la plus forte. C’est ce qui guide toutes nos actions et nos projets aujourd’hui.

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