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Les Eglises évangéliques face à la montée des officiants laïcs

© Istockphoto
Pour un mariage ou des funérailles, les personnes demandant l’aide d’un officiant laïc sont de plus en plus nombreuses. S’agit-il d’une émancipation du religieux ou d'un besoin de solennité?
Charlotte Moulin

L’ activité d’officiant laïc, qui consiste à célébrer sans apport religieux les grandes étapes de la vie telles que le mariage et les funérailles, est aujourd’hui en plein essor, et les demandes abondent. Ces célébrations coûtent en moyenne 780 francs. Hors de la tonalité biblique fondamentale, les Eglises répondent encore aux aspirations des personnes qui cherchent en parallèle la neutralité. Si la profession n’a pas de statut légal, les offres de formation se multiplient avec l’intérêt des citoyens. C’est par exemple le cas pour l’entreprise Frésame mucho dans le canton de Neuchâtel ou Ceremoniae à Genève. Au prix de 4200 francs, la formation complète est généralement dispensée en une dizaine de jours espacés sur plusieurs mois.

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