La violence gratuite n’est pas une fatalité
Depuis quelques temps, les médias français n’ont que l’embarras du choix pour remplir leurs colonnes de faits divers : émeutes des banlieues, affaire du «gang des barbares», casseurs lors des manifestations, jeune fille brûlée vive en région parisienne, etc. La Suisse n’est pas en reste, avec des cas de viols commis par les adolescents, des tabassages gratuits ou des bagarres de quartier comme à Fribourg lors du week-end pascal.
Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes: