«Tout est fake mais ma déprime est réelle»
Entre le culte du corps parfait, qui finit par donner des troubles dysmorphiques, le cyberharcèlement qui y règne en toute impunité et l’incessante quête de validation dans le nombre de likes sur ses publications, nul ne peut nier l’impact négatif de son usage des réseaux sociaux sur sa santé mentale. Pourtant, selon les chiffres de l’OFS, 67% des Suisses et Suissesses entre 16 et 74 ans ont participé à un réseau social en 2020, des statistiques en hausse depuis dix ans dans toute l’Europe. Avons-nous développé le syndrome de Stockholm vis-à-vis de ce bourreau des temps modernes?
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