Skip to content

La course aux bonnes oeuvres

© Alliance Presse
Les courses pour la bonne cause connaissent un succès grandissant. De nombreux sportifs s’investissent dans des défis de haute envergure, et les événements dédiés à des œuvres caritatives se multiplient. Enquête.
David Combernous

Voilà un sportif de l’extrême! Le 28 février, Marc Brunet, le directeur de Séphora Music (photo), vient de rentrer d’un «triathlon» un peu particulier: l’ascension du Kilimandjaro (le plus haut sommet africain, à 5900 mètres), un marathon et 190 kilomètres de vélo. Pour la bonne cause: le sportif de 59 ans a récolté des fonds pour Medair, qui serviront à l’achat de kits d’urgence pour le Sud-Soudan. Cet exploit n’est pas le premier! En 2012, son voyage en vélo jusqu’en Arménie lui avait par exemple permis d’engranger de l’argent pour construire une école en Arménie. Sa motivation: courir de manière «utile» et partager sa passion avec les autres. Il a toujours reçu du soutien de la part des différentes ONG chrétiennes pour lesquelles il s’est engagé dans un défi sportif.

Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Publicité