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Faits: En Tunisie, les minorités religieuses et les défenseurs des droits de l’Homme sont soulagés. La nouvelle Constitution, adoptée le 26 janvier, n’accorde plus de place à la charia, et les enseignements de Mahomet ne sont pas reconnus comme source de loi. Par contre, l’islam demeure religion d’Etat.
Enjeux: Deux aspects inquiètent la Ligue tunisienne des Droits de l’homme et les Tunisiens qui se sont tournés vers la foi chrétienne: la Constitution spécifie que l’Etat est «protecteur du sacré» et «garant de la religion». Ces notions pourraient générer des interprétations dangereuses de la citoyenneté et de la liberté.
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Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui – mars 2014
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