Il était une foi… Payam
Privés d’espoir et de perspectives d’avenir, beaucoup de jeunes Iraniens trouvent des dérivatifs dans l’alcool, la pornographie ou sur les réseaux sociaux. A 21 ans, Payam est de ceux-là. Dans sa famille musulmane, sa mère s’inquiète et contacte le pasteur d’une Eglise virtuelle, sur Internet, pour lui confier qu’elle n’en peut plus de ce fils qui vend tout ce qu’il peut et bat même son père pour avoir de l’argent et s’acheter de la drogue.
Désemparée, la maman demande au pasteur Karoush d’appeler Payam. Au téléphone, celui-ci se montre froid et soupçonneux. Le pasteur persévère et le contacte de temps à autre. Mais tout bascule quand, un jour, Payam l’appelle en urgence. Au bout du fil, le jeune garçon pleure: il a blessé un homme d’un coup de couteau et est recherché par la police. Il ajoute: «Je vous en supplie, priez pour moi, demandez à Jésus de m’éviter d’aller en prison.»
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