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Et si l’écologie ne se réglait pas par la politique?

© Alliance Presse
Michel Maxime Egger n’est pas un Vert comme les autres. Face au défi écologique, l’auteur de «Soigner l’esprit, guérir la terre» (éd. Labor et Fides) nous invite à changer complètement notre conception de la nature. Sa théorie de l’éco-spiritualité est un appel à la cohérence intérieure avant tout.
Christian Willi

«Chacun de nous est la clé de la crise environnementale actuelle». Michel Maxime Egger propose une vision audacieuse de l’écologie, à l’heure où les préparatifs de la Conférence sur les changements climatiques qui aura lieu à Paris en décembre battent leur plein. Son discours tranche avec «la rengaine écolo maintes fois entendue». Bien sûr, il partage avec les Verts le souci des mesures à prendre à l’échelle sociétale pour endiguer les effets indésirables de l’activité humaine sur la nature. Mais pour lui, «la bonne volonté politique ne suffit pas. En effet, elle ne permet pas d’aller jusqu’aux racines de la crise écologique». La solution passe par une «conversion intérieure de chacun» et le développement d’une éco-spiritualité, affirme le croyant orthodoxe, auteur de plusieurs livres, dont Soigner l’esprit, guérir la Terre (Labor et Fides).

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