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«Bénis notre nation et que ton règne vienne!»

© Alliance Presse
On a accusé les évangéliques de vouloir conquérir le monde. La faute à des malentendus sur les notions de peuple et de Royaume de Dieu. Quelle devrait être notre conception de la nation? Découvrez sur notre site les autres articles de ce dossier.
Christian Willi

«Si mon peuple, sur qui est invoqué mon nom, s’humilie, prie et me recherche, s’il revient de ses voies mauvaises, je l’exaucerai des cieux, j’effacerai son péché et son pays je guérirai»: Ce texte de 2 Chron. 7, 14 a inspiré un cantique de la LLB à Claire-Lise de Benoît en 1974 et, quatre ans plus tard, au JEMien Rolf Schneider. Il figure parmi ces nombreux cantiques en lien avec la nation, le peuple, le pays ou la ville, qui ont marqué l’Eglise ces dernières décennies.
Non sans effet, s’inquiètent les mennonites français. Ils ont fait part de leurs craintes dans Chrétien: l’autre nationalité! De son côté, le Réseau Evangélique Suisse (RES) vient de publier La Suisse une nation chrétienne?. Cette réflexion fait écho à Que ton règne vienne!, l’enquête à charge du sociologue et prédicateur mennonite Philippe Gonzalez contre ce qu’il identifie comme les dérives théocratiques d’une frange des évangéliques charismatiques. Ils serainet inspirés par les idées de Peter Wagner, missionnaire, auteur et professeur spécialisé dans la croissance de l’Eglise.
Que faut-il penser? Existe-t-il encore des nations chrétiennes ou des peuples bénis? Doit-on s’attendre à ce que l’Eglise, voire l’Etat, contribue à établir le royaume de Dieu sur terre?

Dossier: Nation

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