Artisans de paix dans les quartiers chauds
C’est l’histoire de Jonas qui a fortement interpellé Jean-Marc Sémoulin, directeur de l’association humanitaire La Gerbe, il y a une dizaine d’années: «Jonas croyait vraiment en la puissance de Dieu qui pouvait transformer une ville, mais il n’avait pas envie que Ninive se tourne vers Dieu.» Dans les quartiers sensibles des Mureaux (photo), à trente kilomètres de Versailles, Jean-Marc Sémoulin et Anne-Denise Daho, directrice du PTCE, ont voulu provoquer un «électrochoc» en déclarant aux jeunes que la ville allait devenir touristique. Passés les éclats de rires, ils demandaient: «Qu’est-ce qu’on a de beau dans notre ville? La réponse, à chaque fois, était que la ville était nulle, qu’il n’y avait rien de bien.»
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