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Syrie: minorités en danger sous le régime d’Ahmed Al-Charaa

Célébrations lors de la chute du régime de Bachar Al-Assad, à Homs, en Syrie, décembre 2024.
© Ahmed Akacha – Pexels / Célébrations lors de la chute du régime de Bachar Al-Assad, à Homs, en Syrie, décembre 2024.
Massacres, manipulations politiques, exode des minorités: derrière les discours d’unité du président par intérim syrien Ahmed Al-Charaa, une réalité sombre se dessine.
Edel Farel

Rien n’est gagné en Syrie. «La Syrie est un pays pour tous et nous pouvons coexister ensemble», avait déclaré Ahmed Al-Charaa peu après sa prise de pouvoir en décembre 2024. Le président syrien par intérim avait alors affiché ses intentions: «Nous nous efforçons de protéger les confessions et les minorités contre tout conflit entre elles.» Un engagement qu’il a eu l’occasion de réitérer, comme lors de son allocution du 3 juillet, au moment de dévoiler la nouvelle identité visuelle du pays, et comme cela avait déjà été le cas après les massacres des Alaouites sur la côte syrienne, en mars, qui ont fait au moins 1700 morts.

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