Skip to content

Vivre en solo: pour le pire et le meilleur

© Alliance Presse
De plus en plus personnes vivent seules. Comment expliquer ce changement sociologique? Et lorsque cette solitude n’est pas choisie, comment y faire face? Analyse avec Cosette Fébrissy, psychologue clinicienne.
Sandrine Roulet

«Je n’aime pas les fêtes de fin d’année, je m’y sens plus seul que jamais». Ce cri du cœur de Bertrand, la soixantaine, n’est certainement pas un cas isolé. La solitude touche en effet cinq millions de Français, selon l’étude sur les Solitudes 2014 de la Fondation de France. Le pourcentage de ménages constitués d’une personne a doublé en un demi-siècle, pour atteindre 12,5%. En Suisse, le chiffre a même triplé depuis 1970, si bien qu’il concerne près de 1,3 million de ménages.

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Publicité