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Regarde, Seigneur, tout ce que je sue pour toi

© Alliance Presse
Les chrétiens n’ont pas de vocation particulière à se tuer à la tâche. Plus que de faire tourner le bateau Église et de faire connaître le message, l’exigence divine semble être de se laisser porter par le vent de l’Esprit. En paroles, c’est chose facile.

«Engagez-vous, rengagez – vous, qu’ils disaient !». Je referme mon Astérix en souriant à la pensée des soldats romains regagnant leur camp retranché, couverts de bleus et de bosses, les habits déchirés et le casque tordu. L’image reste, et me fait réfléchir. Elle évoque de nombreux chrétiens qui se sont jetés corps et âme dans un service, un ministère, et se retrouvaient quelques années après en lambeaux. Pressés de regagner leur camp retranché ? S’agit-il du prix à payer pour l’engagement chrétien?
«La foi sans les œuvres est morte», rappelle l’apôtre Jacques. Oui, elle doit se manifester dans des actions concrètes. Nous sommes d’ailleurs «créés pour de bonnes oeuvres qu’il a préparées d’avance afin que nous les pratiquions» (Éph. 2, 10). Dieu veut donc bel et bien que nous nous engagions. Mais comment et à quel prix ?

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