Pas de fair-play sans savoir-perdre

Zinédine Zidane, l’enfant chéri des Français, est devenu, depuis son coup de tête lors de la finale de la Coupe du Monde 2006, un symbole de l’«unfairplay». Pourtant, pas besoin de fouler une pelouse pour perdre son sang-froid face à l’adversaire.
Savoir perdre, c’est tout un art. Respecter l’adversaire, ne pas rendre coup pour coup, maîtriser ses nerfs face à l’injustice et la bêtise, tout autant. De l’écoute solidaire à la relation d’aide, le chrétien multiplie les occasions d’aimer son prochain, ce qui va plus loin que rester zen. Et pourtant, lorsqu’il est lui-même confronté à une situation d’échec, il peut, comme tout un chacun, s’oublier.
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