Christian Blanc passe le relais

Pourquoi était-ce important pour vous qu’il y ait cette transmission générationnelle au sein du CNEF, avec un comité représentatif rajeuni?
On n’est pas toujours en adéquation avec les générations. Comme dit l’Apôtre Paul, il faut avoir une bonne opinion de soi-même et une juste mesure de soi-même. On n’est pas compétents pour le service de Dieu pour toujours et pour des années et des années. On a une mission, on l’accomplit. Et une fois qu’on l’accomplit, il faut savoir transmettre le relais. Dieu va utiliser quelqu’un d’autre et l’œuvre continue. Je crois en la grande complémentarité des services et des ministères dans l’Eglise. Il n’y a pas de couteaux suisses dans l’Eglise. Chacun est un petit morceau du couteau.
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