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Le défi de la solidarité économique entre chrétiens.

© Alliance Presse
Privilégier les relations d’affaires chrétiennes n’est pas ancré dans les moeurs. La faute à un manque de vision, et surtout aux attentes déplacées qui ont fait du tort au concept.

«Je n’ai pas mandaté le cuisiniste de mon Église, car je craignais des ennuis relationnels au cas où cela ne se passait pas bien». Cette remarque ne relève pas de l’exception. Souvent, les chrétiens préfèrent travailler avec des fournisseurs et autres partenaires non-chrétiens. Même scénario avec des patrons d’entreprises qui se plaignent de leurs clients chrétiens, «qui ne sont pas les plus faciles». Rabais ou travaux gratuits supplémentaires, les chrétiens ont des attentes vis-à-vis de leurs amis à la tête d’entreprises. À l’inverse, un patron peut être tenté de traiter les commandesde chrétiens après toutes les autres, «à cause de leur plus grande compréhension». Dans les deux cas se repose la question de savoir si le fait d’être chrétien implique plus d’avantages, ou plus de responsabilité. À en croire les entrepreneurs et les économistes chrétiens, l’enjeu est ailleurs.

La suite à découvrir dans la version magazine ou téléchargeable du Christianisme Aujourd’hui.

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