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L’UDF sur le pas de porte du Grand Conseil

Publicité Les partis évangéliques n’ont jamais été aussi proches d’un siège au parlement vaudois. Parviendront-ils à le décrocher le 11 mars prochain? En 2002, il avait manqué 22 voix au conseiller communal Maximilien Bernhard (photo), secrétaire romand de l’UDF, pour obtenir un siège au Grand Conseil.
Christian Willi

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Les partis évangéliques n’ont jamais été aussi proches d’un siège au parlement vaudois. Parviendront-ils à le décrocher le 11 mars prochain?
En 2002, il avait manqué 22 voix au conseiller communal Maximilien Bernhard (photo), secrétaire romand de l’UDF, pour obtenir un siège au Grand Conseil.
–CREDIT–
Mais les choses ont changé depuis. En décidant, à la fin de l’année passée, de faire liste commune avec le PDC et le PEV, l’UDF pourrait bénéficier de l’électorat PDC dans les régions où celui-ci est moins présent que l’UDF. C’est principalement à Yverdon, seconde ville du canton et véritable bastion de l’UDF, que les chances du parti sont les plus élevées. En effet, le ou les meilleures placés (PDC, UDF et PEV confondus) obtiendront le droit de siéger. Ici les voix profiteront à un candidat PDC, là à un UDF ou PEV. Ce sont sans doute les représentants de ce dernier qui profiteront le moins de cette alliance électorale du centre. Dernier venu sur la scène politique vaudoise, il ne dispose pas encore de candidats de premier plan.
Seule inconnue, l’effet de la réduction du nombre de députés. L’entrée en vigueur de la Nouvelle Constitution en 2003 prévoit une cure d’amaigrissement pour le législatif qui passe ainsi de 180 à 150 sièges. (CW)

Christianisme Aujourd'hui

Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui – Mars 2007

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