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Une femme d’otage soutenue par l’Eglise

© Alliance Presse
Après avoir été prise en otage en septembre 2010 par un groupe islamiste proche d’Al Qaïda, puis relâchée six mois plus tard pour des raisons de santé, Françoise Larribe attend toujours la libération de son mari. Avec une angoisse redoublée, après la prise d’otages en Algérie. Interview.
Eric Denimal

Vous êtes rattachée à une paroisse protestante des Cévennes. Y trouvez-vous du soutien?
Des raisons professionnelles m’ont souvent éloignée des Cévennes. Mes contacts avec l’Eglise étaient plutôt épisodiques. Depuis ma libération, mes relations avec elle sont plus conséquentes et j’y trouve des personnes très concernées, dont la foi est discrète mais attentive. C’est très précieux. Quand j’entends qu’il y a, ici et là, des appels à la prière pour ma famille, je suis très émue. Pour les croyants, la prière est un vrai réconfort.
Les soutiens divers, de croyants et de non-croyants, sont un ensemble non fragmenté où s’expriment différemment la compassion et la solidarité. Les témoignages d’affection sont des éléments qui me touchent et qui élargissent le cercle des espérances.

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