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Une caravane que l’on connaît déjà

La chronique mensuelle d'Hugues Not, qui jette un regard doux-amer sur le protestantisme et la société.

Un commentateur a pensé à rappeler la logistique nécessaire pour la migration collective exceptionnelle, dont tout le monde parle ces jours, dite «Caravane des migrants». Douze mille repas quotidiens pendant deux mois, le temps de parcourir mille cinq cents kilomètres à pied à raison de vingt-cinq par jour, l’eau potable, la meilleure route pour traverser le Mexique, des sacs de couchage en suffisance, des habits de rechange, de quoi se laver et se soigner.

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