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Un colloque sur le thème de l’éducation

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Près de 200 responsables et délégués du réseau des Associations familiales protestantes (AFP) se sont réunis à Lyon du 12 au 14 octobre, pour un colloque sur l’éducation. La réflexion autour des écoles privées protestantes était au cœur de leur attention. Parmi les intervenants, l’historien Patrick Cabanel, a proposé l’analyse historique de l’approche protestante de l’enseignement. Il se veut néanmoins «prudent» face à une éventuelle ségrégation sociale. Pour Luc Bussière, co-fondateur et directeur du collège privé Daniel en Alsace, les écoles protestantes au contraire, forment le caractère de l’enfant et développent chez lui la solidarité. Ces écoles, sous contrat et hors contrat, sont selon lui en pleine croissance. Elles représentent «une alternative à l’école du service public» pour les familles qui en expriment le désir ou le besoin. Des échanges se sont poursuivis en groupes autour de questions comme par exemple «les conséquences des non-dits et des secrets de famille sur l’éducation des enfants». Le vice-président de l’UNAF, Bernard Tranchand, ainsi que deux de ses représentants étaient présents. Cette association représente les intérêts des familles vivant sur le territoire français auprès des pouvoirs publics.
David Métreau

Près de 200 responsables et délégués du réseau des Associations familiales protestantes (AFP) se sont réunis à Lyon du 12 au 14 octobre, pour un colloque sur l’éducation. La réflexion autour des écoles privées protestantes était au cœur de leur attention. Parmi les intervenants, l’historien Patrick Cabanel, a proposé l’analyse historique de l’approche protestante de l’enseignement. Il se veut néanmoins «prudent» face à une éventuelle ségrégation sociale.
Pour Luc Bussière, co-fondateur et directeur du collège privé Daniel en Alsace, les écoles protestantes au contraire, forment le caractère de l’enfant et développent chez lui la solidarité. Ces écoles, sous contrat et hors contrat, sont selon lui en pleine croissance. Elles représentent «une alternative à l’école du service public» pour les familles qui en expriment le désir ou le besoin. Des échanges se sont poursuivis en groupes autour de questions comme par exemple «les conséquences des non-dits et des secrets de famille sur l’éducation des enfants».
Le vice-président de l’UNAF, Bernard Tranchand, ainsi que deux de ses représentants étaient présents. Cette association représente les intérêts des familles vivant sur le territoire français auprès des pouvoirs publics.

David Métreau

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Christianisme Aujourd'hui

Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui décembre 2018

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