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«Si tu existes, montre-moi qui tu es!»

© Alliance Presse
Né dans une famille chrétienne, Maxime, à l’adolescence, a décidé de ne plus suivre ses parents à l’Eglise. Pourtant, l’amour des lettres et de la philosophie ont remis en question sa croyance que Dieu n’existe pas. Entré dans une relation personnelle avec Dieu, il a pu surmonter des problèmes de santé.
René Progin

Maxime est reconnaissant d’avoir grandi dans une famille chrétienne. Depuis tout petit, il participe à l’école du dimanche. Dans sa famille également, il voit son éducation teintée de valeurs chrétiennes. A l’adolescence, ses parents lui laissent la liberté de venir avec eux ou non à l’Eglise. Maxime préfère de loin rester au lit! «Je me suis peu à peu éloigné de la foi, et je ne croyais plus vraiment en Dieu.»
Il continue pourtant à se poser des questions existentielles. Cela le pousse, au cours de ses études, à rédiger un travail de maturité sur l’espoir et le suicide, au titre évocateur: «Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir… et l’inverse?»
Le jeune homme trouve des réponses de deux côtés. D’une part, auprès des philosophes existentialistes, tel Camus, qui invitent à un lâcher-prise. «Selon lui, il faut abandonner tout espoir, afin de ne pas souffrir». D’autre part, dans la pensée de Søren Kierkegaard: «Croyant, Kierkegaard invite à trouver de l’espoir dans la foi en Jésus-Christ. Ce qui conduit à la mort, c’est une maladie nommée le péché». Une théorie qui pousse Maxime à une réflexion sur lui-même.

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