Skip to content

Scientifiques évangéliques : en avant le Réseau !

Le Réseau des Scientifiques Évangéliques s’apprête à tenir sa première journée annuelle, le 17 janvier à Paris. Les organisateurs attendent une cinquantaine de chercheurs, d’étudiants et de chrétiens actifs dans le domaine des sciences dures pour se rencontrer et aborder le thème fondamental de la prétendue neutralité de la science. Étude biblique, prière et discussion sur l’avenir ponctueront cette rencontre inaugurale. Les «Christians in Science» britanniques existent depuis les années 40. Côté catholique, une Association des Scientifiques Chrétiens existe depuis 1998 en France. C’est dire que le Réseau des Scientifiques Évangéliques comble un certain vide. À l’heure d’un certain raidissement des fronts, où les prétentions de croyants dans le domaine des sciences suscitent de fortes réactions, le Réseau évangélique adopte une position prudente, refusant le militantisme. Sa coordinatrice, Rachel Vaughan, une ancienne chercheuse en biologie cellulaire, met l’accent sur le soutien mutuel: «Les scientifiques chrétiens peuvent ressentir une double solitude : dans leur Église, ils ne trouvent souvent pas de vis-à-vis qui comprenne les interrogations. Dans leur milieu professionnel, ils sont souvent les seuls chrétiens dans leur labo.»
Joël Reymond

Le Réseau des Scientifiques Évangéliques
s’apprête à tenir sa première
journée annuelle, le 17 janvier à Paris.
Les organisateurs attendent une cinquantaine
de chercheurs, d’étudiants
et de chrétiens actifs dans le domaine
des sciences dures pour se rencontrer
et aborder le thème fondamental de
la prétendue neutralité de la science.
Étude biblique, prière et discussion sur
l’avenir ponctueront cette rencontre
inaugurale.
Les «Christians in Science» britanniques
existent depuis les années 40.
Côté catholique, une Association des
Scientifiques Chrétiens existe depuis
1998 en France. C’est dire que le Réseau
des Scientifiques Évangéliques
comble un certain vide. À l’heure
d’un certain raidissement des fronts,
où les prétentions de croyants dans
le domaine des sciences suscitent de
fortes réactions, le Réseau évangélique
adopte une position prudente,
refusant le militantisme. Sa coordinatrice,
Rachel Vaughan, une ancienne
chercheuse en biologie cellulaire, met
l’accent sur le soutien mutuel: «Les
scientifiques chrétiens peuvent ressentir
une double solitude : dans leur
Église, ils ne trouvent souvent pas de
vis-à-vis qui comprenne les interrogations.
Dans leur milieu professionnel,
ils sont souvent les seuls chrétiens dans
leur labo.»

Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Pour des vacances qui ont du sens

A l’approche des grandes vacances scolaires, la rédaction vous propose de découvrir ce que les chrétiens organisent. Tour d’horizon non exhaustif des possibilités.

Publicité