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Repentance contre plan de relance

La chronique mensuelle d'Hugues Not, qui jette un regard doux-amer sur le protestantisme et la société

Avec le mot «crise», il semble qu’on explique tout et peut-être même cherche-t-on des excuses à tout! Mais la crise – et même les crises – sont bel et bien au cœur de nos vies, inévitables, incontournables, épouvantables lorsqu’elles déstabilisent les sociétés et jettent des millions de personnes dans toutes les désespérances possibles.
Or, la situation actuelle peut devenir le théâtre d’une mission de salut public. Les gouvernements, dont le rôle est de conduire à bon port (gouverner, c’est tenir le gouvernail), proposent des solutions pour sortir des impasses dans lesquelles ils ont contribué à nous amener. D’où leur incapacité à proposer autre chose que des coups d’épées dans l’eau.
–CREDIT–
Les coordinateurs du «Défi Michée» le disent fort et bien: la crise devient l’occasion de manifester une autre philosophie de vie et de témoigner de valeurs différentes que celles qui plombent aujourd’hui le monde. Il est temps pour le peuple de Dieu d’incarner le message évangélique, avec sagesse et audace, douceur et ténacité plutôt que de s’enfermer dans des bulles égoïstes, où les appels de détresse sont étouffés par des louanges anesthésiantes.

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