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Renaissance au seuil de la mort

© Alliance Presse
Malade et âgé, Georges ne demandait qu’une chose: la mort. Mais il a changé d’avis quand des relations profondes se sont établies à l’hôpital.

«Faites-moi la piqûre, monsieur le directeur, s’il vous plaît». Ce sont les premiers mots que prononce Georges*, la nonantaine, lorsque, ce matin-là, il arrive en ambulance à ce qui sera le dernier domicile de sa vie: un centre de soins palliatifs.
Couché sur un brancard, emmitouflé dans ses couvertures, au milieu du hall de l’hôpital, Georges n’a pas envie de lutter plus longtemps contre le cancer dont il est atteint depuis des années et qui lui fait perdre peu à peu toute indépendance physique. Et l’arrivée dans ce grand établissement, en ambulance qui plus est, n’a rien de très joyeux…

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