Skip to content

Recevoir un appel, le privilège de tous les croyants?

© Alliance Presse
De nombreux croyants prétendent avoir eu leur «chemin de Damas». Serait-ce donc la norme pour tout chrétien? En tout cas, l’appel, moteur de l’essor évangélique (lire aussi l’édito), lance de formidables défis à l’individu et aux responsables d’Eglises. Enquête. Découvrez sur ce site les autres articles de notre Gros Plan consacré à l'appel.
Jérémie Cavin

Combien de fois avez-vous entendu un évangélique dire qu’il a «reçu un appel»? Mission, pastorat, politique, journalisme, aide humanitaire, accueil de l’étranger: la liste est longue. Cette notion d’appel semble très liée au mouvement évangélique et peut même, selon certains, en expliquer l’essor. Marc Gallay, pasteur au Gospel Center à Lausanne, remarque l’importance de la foi individuelle chez les évangéliques, en contraste avec la conception plus collective des réformés. Christophe Konrad, directeur de l’école Factory, ajoute: «Les évangéliques sentent qu’ils ont un rôle à jouer, que Dieu leur a donné une mission spécifique. Cela favorise le développement, le dynamisme». L’appel ressemble ainsi à une véritable mise en route, à l’impulsion qui donne du sens à l’engagement des évangéliques.
Mais comment réagir si je crois avoir reçu un appel? Ou si, au contraire, je ne me sens appelé «à rien»? Dix questions pour mieux comprendre cette notion d’appel et y répondre le cas échéant.

Dossier: Appel
Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Publicité