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Qui veut entendre parler de «crainte de Dieu» au 21e siècle?

Le pasteur Samuel Peterschmitt a témoigné de ce qu’il a retenu de la crise du coronavirus qui a durement touché sa famille et son Eglise. Retour sur une notion devenue impopulaire mais qui reste incontournable.
Alexia Huet

Après un silence de deux semaines, passés à se soigner du coronavirus et à méditer la contamination d’au moins un millier de fidèles dans son Eglise de Mulhouse, c’est peu dire que la première parole publique de Samuel Peterschmitt était attendue. «Je suis attristé de voir combien nous avons perdu la notion de crainte de l’Eternel», répétait ainsi le pasteur de cinquante-cinq ans, y compris dans nos colonnes, en mai dernier. Mais quelle est cette crainte perdue de vue et comment la vivre en 2020?

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