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Quel avenir pour les missions traditionnelles?

© Alliance Presse
Que reste-t-il de la mission traditionnelle aujourd’hui? Depuis un demi-siècle, l’aide au développement semble avoir pris le dessus. À côté de cette enquête, le regard d’un pionniers des missions globalisées et un survol de la contribution féminine à ces missions
Christian Willi

«Il y a des chrétiens sur la terre entière»: Roger Zürcher d’Espoir pour la Faim considère que le rôle des missions traditionnelles a changé: «L’heure est à la collaboration avec les Églises indigènes», explique-t-il.
Les missions vont-elles devenir des prestataires de service au service des Églises aux quatre coins du monde? Michel Varton, directeur de Portes Ouvertes France, plaide lui aussi pour un partenariat avec les Églises existantes. «D’ailleurs, la présence de missionnaires n’est pas forcément appréciée là où des Églises sont déjà établies», observe-t-il.
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Mais le besoin de formation, bien réel à ses yeux, peut aisément être assuré par le biais de voyages ponctuels: «Il s’agit de former et d’équiper des missionnaires pour qu’ils fassent le travail sur place et de soutenir leur engagement si nécessaire», précise-t-il. Michel Varton reste en revanche convaincu de l’utilité de l’approche missionnaire traditionnelle dans les régions où il n’existe pas d’Église.

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