Hillary Clinton raconte que lorsqu’elle était au lycée, elle a un jour rapporté un bulletin de notes excellent dans toutes les matières. Alors qu’elle s’attendait aux félicitations de son père, celui-ci s’est exclamé: «Eh bien, le niveau de ton école doit être bien bas!». Trente-cinq ans après, cette remarque l’habite encore. L’anecdote, tirée d’un livre de James Dobson, n’est qu’un exemple parmi d’autres du pouvoir des mots. «Les gens oublient la plupart des événements de leur vie quotidienne, mais une remarque particulièrement cinglante peut rester gravée des dizaines d’années. Celui qui l’a lancée, par contre, peut ne pas s’en souvenir du tout quelques jours plus tard», affirme James Dobson.