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Pâques: embrasser Jésus sans ressembler à Judas

© iStockphoto
En ce temps de Pâques où l’on relit plus attentivement les récits de la mort et la résurrection de Jésus, le personnage de Judas est rarement celui sur lequel nous nous arrêtons. Mais quels peuvent être les enseignements à tirer pour nos vies? Judas aurait-il pu être pardonné? Perspectives.
Sandrine Roulet

«Il ne faut jamais juger les gens sur leurs fréquentations. Tenez, Judas, par exemple, il avait des amis irréprochables.» Si cette citation de Verlaine peut faire sourire, elle souligne une réalité: Jésus avait choisi Judas au même titre que les onze autres disciples et le considérait comme un ami.
Pendant trois ans, l’Iscariot a vu ses miracles, entendu son appel, observé sa compassion. Toutefois, il semble que l’amour et le message de Jésus ne l’aient pas transformé. Aujourd’hui, il symbolise encore le traître par excellence: son «baiser» est passé dans le langage courant pour signifier un geste d’affection cachant une intention sournoise. Que pouvons-nous en apprendre?

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