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Ni hérisson ni paillasson, les bienfaits de la bienveillance

© © Istockphoto
Faire de nos relations des lieux de bénédiction? C’est possible en choisissant et surtout en cultivant la bienveillance. Une clé pour désamorcer les conflits et permettre la guérison intérieure. Quelques pistes.
Sandrine Roulet

Myriam reçoit un coup de fil juste au moment de passer à table avec sa famille. Elle écoute Stéphanie et l’appel se prolonge… Myriam sera perçue comme «gentille» par Stéphanie, mais elle n’aura été ni bienveillante avec sa famille, ni avec elle-même.
Contrairement à une idée reçue, bienveillance et gentillesse ne sont pas synonymes. Pour Evelyne Frère, la bienveillance est une disposition de cœur qui «veille» au «bien» de l’autre, de soi-même voire de la Création: «C’est porter un regard respectueux sur l’autre et soi-même en l’accueillant avec ses pensées, émotions et besoins», précise cette formatrice en communication bienveillante. Elle aime à l’illustrer avec cette image: «Etre ni hérisson, ni paillasson.»

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