Skip to content

Mars 2009: les enjeux de l’actualité

Les jeunes ne fument plus La prévention anti-tabac porte du fruit. Selon une étude à l’échelle européenne, les jeunes de seize ans qui fument quotidiennement ont baissé de moitié, passant de 31% en 1999 à 17% en 2007. La consommation de cannabis est également en baisse, de 5,5% à 3,4%. C’était la bonne nouvelle. Mais les ados ne sont pas devenus des anges pour autant. Ce qui inquiète les parents et les autorités sanitaires, c’est l’augmentation sensible de la consommation d’alcool parmi le même public. Selon l’étude européenne Espad,13% affirment consommer de l’alcool au moins dix fois par mois, alors que seuls 8% des ados du même âge le faisaient en 1999. Quatre sur dix précisent qu’ils ont bu au moins une fois l’équivalent de cinq verres d’alcool ou plus. «L’éducation doit être plus que jamais au centre de nos réponses face à une société qui multiplie les sollicitations addictives», ont affirmé dans un communiqué les associations françaises des acteurs de l’addictologie. Ces derniers craignent également une augmentation de la consommation de cocaïne, en raison d’une offre croissante.

Les jeunes ne fument plus
La prévention anti-tabac porte du fruit. Selon une étude à l’échelle européenne, les jeunes de seize ans qui fument quotidiennement ont baissé de moitié, passant de 31% en 1999 à 17% en 2007. La consommation de cannabis est également en baisse, de 5,5% à 3,4%.
C’était la bonne nouvelle. Mais les ados ne sont pas devenus des anges pour autant. Ce qui inquiète les parents et les autorités sanitaires, c’est l’augmentation sensible de la consommation d’alcool parmi le même public. Selon l’étude européenne Espad,13% affirment consommer de l’alcool au moins dix fois par mois, alors que seuls 8% des ados du même âge le faisaient en 1999. Quatre sur dix précisent qu’ils ont bu au moins une fois l’équivalent de cinq verres d’alcool ou plus.
«L’éducation doit être plus que jamais au centre de nos réponses face à une société qui multiplie les sollicitations addictives», ont affirmé dans un communiqué les associations françaises des acteurs de l’addictologie. Ces derniers craignent également une augmentation de la consommation de cocaïne, en raison d’une offre croissante.

Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Publicité