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Maître et disciple: maintenir autant que possible la liberté

© iStockphoto
Dossier: Discipulat
Nathania Clark

Vécu comme un mentorat, le discipulat serait un mythe. C’est du moins ce qu’affirme Colin Marshall, directeur de Vinegrowers, une organisation qui encourage la multiplication de disciples au sein de l’Eglise locale. «Selon ce mythe, le discipulat est une relation de confiance où une personne est redevable envers une autre pour son culte personnel, sa participation à la vie d’Eglise ou au renoncement à certains péchés comme la pornographie. Bien que ce soit une bénédiction d’être transparent au sujet de nos péchés et de nos luttes, on court le danger de satisfaire le “mentor” plutôt que Christ.»
Afin d’éviter que le discipulat se transforme en relation de contrôle, il est important de veiller à trouver un bon équilibre. Derek J. Brown, professeur adjoint de théologie chrétienne au Southern Baptist Theological Seminary, met le doigt sur des agressions qui «peuvent se manifester sous une forme subtile de tyrannie spirituelle où l’enseignant, en vertu de sa position et de ses connaissances (reconnues par lui-même) a tendance à submerger et gérer la personne qu’il accompagne.»

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