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Les scientifiques athées se trompent

© Alliance Presse
Le célèbre mathématicien John Lennox a démontré qu’il est plus cohérent d’être chrétien qu’athée si l’on veut faire de la science.
Jérémie Cavin

«Je ne suis pas du tout mal à l’aise d’être chrétien et scientifique, parce que ma foi donne un sens à ce que je fais! Plus j’étudie la nature grâce à la science qui me la révèle, plus j’admire Dieu qui l’a faite». John Lennox, professeur de mathématiques à Oxford, a captivé les quelque 500 étudiants qui se sont pressés pour l’écouter le 10 novembre à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, à l’invitation des GBU.
Habitué à débattre avec des athées de renom, tels Stephen Hawking ou Richard Dawkins, il s’est montré convaincant pour amener ses auditeurs à la conclusion qu’un scientifique sera plus pertinent s’il est chrétien que s’il est athée. John Lennox a d’abord rappelé que les prix Nobel de physique ont été tantôt chrétiens, tantôt athées, preuve que l’on peut être un brillant scientifique «aussi bien si l’on a la foi en Dieu que si l’on a la foi en l’athéisme». Le christianisme donne même une plus grande pertinence à la recherche scientifique. Historiquement, «elle a été un moteur pour des scientifiques comme Kepler, Newton ou Galilée. Einstein ne pouvait pas imaginer un scientifique sans foi: la foi dans le fait que l’univers est rationnel. Car on ne peut pas faire de science si l’on n’a pas d’abord la foi que c’est possible, qu’il y a un Dieu intelligent derrière l’univers et derrière l’esprit humain qui fait la science». Si l’on veut être intellectuellement honnête, on doit donc affirmer que toutes les tentatives d’expliquer la naissance de l’univers autrement que par une action divine se heurtent à des incohérences.

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