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Les médias me dépriment!

© Alliance Presse
Les médias véhiculent des mauvaises nouvelles à longueur d’année. Mais ne peut-on pas transformer cette information en action ?
Sandrine Roulet

«Je n’écoute plus la radio et n’allume plus la télévision : il n’y a que des mauvaises nouvelles». Face à l’abondance d’informations médiatiques dont nous sommes submergés, nous pouvons être tentés par un réflexe de répulsion.
Crise économique, mariage gay, augmentation de la délinquance, meurtre d’un enfant innocent, fusillade dans une école, explosion du taux de chômage : difficile de s’informer sans tomber sur de telles actualités. «Nous devons apprendre à ne pas accorder trop de place à nos émotions», conseille le journaliste, pasteur et auteur Charles-André Geiser. «Les médias nous informent presque en temps réel d’une multitude d’événements dramatiques. Mais ce n’est pas en versant une larme à chaque mauvaise nouvelle que nous résoudrons les problèmes de ce monde. Nous ne sommes pas appelés à porter toutes les misères. Mais là où il nous est possible de faire quelque chose, faisons-le avec les moyens dont nous disposons.»

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