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Les banlieues française en otage

© Alliance Presse
Les violences de la jeunesse des banlieues ne sont pas une fatalité

Depuis début novembre, les projecteurs sont braqués sur les banlieues françaises, en Île-de-France et en Province, secouées par une violence urbaine, dure, excessive. Très vite, le gouvernement a annoncé ses mesures : état d’urgence, répression, aide à l’emploi, et quelques autres mesures de cosmétique sociale. Était-ce la bonne réponse au problème ? «La répression est la seule réaction possible pour endiguer la violence dans l’immédiat»: mais pour Pascal Grosjean, éducateur et responsable de jeunesse dans un mouvement d’Églises évangéliques en Suisse, il s’agit de prendre la mesure de la gravité des événements.

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