Les adventistes très actifs pour parler du sommeil et du repos adventistes
Dans quelle mesure la qualité de nos nuits interagit-elle avec notre alimentation? Que faire quand bébé pleure de fatigue mais ne dort pas? L’insomnie peut-elle se traiter autrement que par les médicaments? Le 35e congrès annuel de l’Association médicale adventiste de langue française (Amalf), qui s’est déroulé à Paris du 6 au 8 novembre, portait sur le sommeil et les rythmes biologiques. L’assemblée comptait une centaine de personnes, principalement des médecins et des professionnels du médical ou paramédical.
Le week-end s’est ouvert avec une session animée par le réseau Morphée (en photo les médecins Royant-Parola et Hartley) sur la physiologie du sommeil, ses fonctions et la façon d’optimiser son temps de repos. Il s’est conclu le dimanche avec une série d’exposés consacrés aux liens entre sommeil et âge, dépression, burn-out, scolarité. Entre les deux, au cœur du programme, la place a été donnée à une vaste réflexion sous l’angle à la fois biologique et spirituel. Le temps est-il inscrit en nous? Le rythme de la semaine de sept jours se justifie-t-il autrement que par des raisons culturelles et religieuses? Que se passe-t-il si on ne le respecte pas?
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