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Le débat et le dialogue ne nuisent pas à la vérité

© Alliance Presse
Auteur de «La Reine, le moine et le glouton» (éd. Seuil), le théologien réformé Shafique Keshavjee s’intéresse depuis longtemps au dialogue entre les différentes croyances et avec l’athéisme. Ce qui pose aussi la question de la place de la vérité. Entretien. Découvrez sur ce site les autres articles de notre dossier consacré à la vérité.
Christian Willi

C’est votre deuxième roman consacré au dialogue entre croyants de diverses religions et non-croyants. Quel bilan dressez-vous de ce dialogue?
Il dépend des contextes, des lieux. Dans certaines situations, le dialogue continue à se développer entre chrétiens, juifs, musulmans, hindous et bouddhistes. Parmi les évolutions réjouissantes, le Mouvement de Lausanne, plus réticent au dialogue interreligieux à ses débuts en 1974, affiche une ouverture, dans L’Engagement du Cap adopté en 2010. Cependant, après vingt ou trente ans de mise en œuvre, nous assistons aussi à un certain repli identitaire.

Dossier: Vérité
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