Skip to content

Le Big Boss, c’est fini

Le Big Boss’ Festival n’aura plus lieu. Après dix éditions et une affluence maximale de cinq mille personnes, c’est le plus ancien festival musical évangélique de Suisse romande en activité qui disparaît. L’association a été dissoute le 6 décembre. Les organisateurs évoquent un manque de ressources humaines et matérielles. Point de remords pourtant chez David Vuilleumier, président du comité : «C’est juste de mettre un terme au festival car il devenait trop gros. Il occupait l’équivalent d’un poste à 20% et même plus pour la programmatrice. Nous avons acquis des compétences et la moitié de l’équipe souhaite continuer à proposer, dans le futur, un autre événement en phase avec les besoins des chrétiens d’ici et d’ailleurs.»
Sandrine Roulet

Le Big Boss’ Festival
n’aura plus lieu. Après
dix éditions et une affluence
maximale de
cinq mille personnes, c’est le
plus ancien festival musical
évangélique de Suisse romande
en activité qui disparaît.
L’association a été dissoute le
6 décembre. Les organisateurs
évoquent un manque de ressources
humaines et matérielles.
Point de remords pourtant
chez David Vuilleumier, président
du comité : «C’est juste
de mettre un terme au festival
car il devenait trop gros. Il occupait
l’équivalent d’un poste
à 20% et même plus pour la
programmatrice. Nous avons
acquis des compétences et la
moitié de l’équipe souhaite
continuer à proposer, dans le
futur, un autre événement en
phase avec les besoins des
chrétiens d’ici et d’ailleurs.»

Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Publicité