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La victimisation, un travers chrétien ?

© Alliance Presse
L’exploitation du statut de victime est devenu un outil politique. on pointe souvent du doigt le christianisme pour avoir, le premier, sacralisé ce statut. L’analyse de quelques spécialistes sur les plans collectif et psychologique
Céline Schmink

Être victime, c’est être reconnu. Le statut de victime, si peu enviable
soit-il, a aussi son confort : il vous décharge de vos responsabilités envers
la société et envers vous-même.
Psychologie, sociologie, théologie, il n’est pas de discipline étrangère au
concept de victimisation. Et pour cause, le phénomène puise ses origines dans l’instinct de survie de l’homme, sa capacité de résilience, dans les mécanismes d’instrumentalisation de la souffrance et dans une lecture «misérabiliste» de la Bible. Comment éviter ce travers actuel ?

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