Avis aux partis politiques: la meilleure façon de tranquilliser la population serait de lui garantir un travail à vie. Car c’est le changement qui diminuerait les soucis d’un Suisse sur deux (55%), d’après le sondage réalisé en juillet par MIS Trend en exclusivité par 1/4 d’heure pour l’essentiel à paraître en septembre. 47% des personnes interrogées pensent également qu’une santé plus efficace contre les maladies incurables réduiraient leurs soucis, alors que 33% aspirent à une situation financière plus confortable alors ques seule une minorité pense que de savoir ce qui vient après la mort est utile (16,8%). Détail intéressant, ce chiffre grimpe à 35,9 % pour les adeptes d’autres religions que le christianisme.
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La foi et la prière, une aide reconnue
Paradoxalement, près d’un Suisse sur deux pense que face aux angoisses, la foi et la prière peuvent constituer un recours efficace (47,4%). Un quart de la population supplémentaire pense que c’est peut-être le cas (27%). Deux Suisses sur trois ont déjà prié face aux problèmes qu’ils ont rencontrés; 22,6% de la population même régulièrement. En outre, parmi ceux qui ne prient jamais, 26,3% connaissent des gens qui le font.
Le plus souvent, les individus se disent que «ça ira mieux demain» et ils réfléchissent à leur soucis ou en parlent avec leurs proches. Le sport constitue une autre façon de les surmonter. Etonnamment, face aux soucis, seuls 1,1% de la population suisse consulte systématiquement un thérapeute et 12% de temps en temps.