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La Parole de Dieu pour seul repère

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Fonctionnaire de la Police Nationale, Alain Fink a trouvé en Dieu la force de rester en vie et d’être ferme dans ses choix. Malgré une enfance traumatisée, c’est l’amour et l’Evangile qui lui ont permis de donner un sens à sa vie.
Rachel Gamper

«Qui es-tu, toi, pour t’enlever ta vie? Elle ne t’appartient pas.» Agé de quatorze ans, Alain Fink avait de nouveau cherché à mettre fin à ses jours. Mais cette fois-ci, il est retenu par cette pensée soudaine: oui, qui était-il pour s’ôter la vie?
Alain Fink n’a pas été «gâté». Alors qu’il n’a que six ans, son père invalide de guerre cherche à le tuer, ainsi que ses sœurs, avec une hache. Sa mère, très choquée, est internée. Les quatre enfants sont alors placés dans un orphelinat puis dans une famille d’accueil. Dans les deux cas, les conditions de vie sont déplorables. Dans ce contexte, comment cette pensée «ta vie ne t’appartient pas» lui est-elle venue? Alain Fink se l’explique par la Bible illustrée pour enfants, reçue à l’âge de neuf ans, qu’il avait lue et relue. Avec le recul, il est convaincu que «la Parole de Dieu est vivante et efficace» (Héb. 4, 12).

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