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L’ONG Portes Ouvertes appelée à durer

© DR
Lors de son week-end annuel, l’organisation au service des chrétiens persécutés a mis en lumière de nombreux témoignages aussi déchirants que lumineux. Une façon concrète de rendre compte des menaces encore bien réelles à l’égard des chrétiens à travers le monde. Compte-rendu.
Claire Bernole

Quelque 1200 participants ont vécu au rythme du programme de l’ONG Portes Ouvertes, à l’occasion de son week-end annuel organisé les 29 et 30 octobre, à Melun. Plusieurs orateurs venus des quatre coins du monde, parfois au péril de leur vie, ont fait part de leur expérience autour du thème «Quand tout s’effondre, soyons porteurs d’espérance».
Ainsi, après avoir connu la persécution au sein de sa propre famille, Satish Chandra, hindou converti au christianisme, accompagne aujourd’hui les chrétiens confrontés à la persécution dans les régions reculées du nord de l’Inde. Quant à Musa Adamu, pasteur au Nigeria et témoin des atrocités perpétrées par le groupe islamiste Boko Haram, il a pris son bâton de pèlerin et visite dans la région ceux qui, comme lui, ont perdu leurs proches et leurs biens. Enfin Hana, impliquée au Pakistan dans des projets de réhabilitation pour aider les chrétiens à trouver leur dignité en Christ, a rappelé que vivre sous la loi anti-blasphème est une menace encore bien d’actualité.
Mais sans doute est-ce la présence de Kim Yung Sook, chrétienne d’origine nord-coréenne, qui a été l’une des plus marquantes. D’abord par la rareté de son témoignage, mais aussi par sa dimension intime.

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